J'ai l'immense plaisir de vous annoncer de façon officielle le titre du projet de jeu dans l'univers de No Man's Land. Intitulé Fading Radiance, ce jeu de rôle en 2d vous transportera dans l'univers postapocalyptique particulier que plusieurs d'entre vous connaissent déjà! Nous sommes une dizaine de passionnés tentant depuis déjà quelque temps de mettre ce projet colossal sur pied. Les choses vont bon train et soyez assurés d'avoir plus de détails au cours des prochaines semaines !
Nous travaillons en ce moment à ce que tous les départements créatifs aient une bonne base pour commencer à accumuler du matériel convergent vers la même vision. Le côté marketing est aussi en pleine construction : une page officielle verra le jour très bientôt! Attendez-vous à avoir des nouvelles sur une base très fréquente et qui sait, peut-être même sous la forme d'un podcast!
Le tout n'est encore qu'à ses débuts, mais promet d'être enrichissant pour nous et, nous l'espérons, ultimement divertissant pour vous !
 Le nouveau chef-d'oeuvre du développeur d'Irrationnal Games est enfin disponible ! Bioshock Infinite extirpe le joueur des confins suintants de Rapture pour le transporter dans une toute nouvelle ville : Colombia. C'est au centre de cet univers flottant au-dessus des nuages que vous vivrez cette nouvelle aventure solo teintée par la folie, le racisme et la violence. Sévère critique de l'histoire américaine, ce jeu se veut une belle création alliant scénario crédible, combats sanglants et moments épiques. Je le conseille à tout amateur d'exploration, de sensations fortes et de claque graphique ! Vous ne serez pas déçu par le dernier bébé édité par 2K games, même s'il a énormément tardé pour montrer le bout de son nez. La qualité est au rendez-vous, alors tout est pardonné.
 Les drôles de personnages de l'agence TWO sont de retour pour une nouvelle aventure remplie d'adrénaline et d'humour manquant franchement d'éthique. Pour les habitués de la série, rien ne vient trop bousculer le gameplay; pour les autres, je conseille ce jeu pour sa valeur coopérative absolument intéressante ! En solo, ce jeu perd beaucoup d'intérêt, son système de scoring et d'entraide étant peu amusant avec un partenaire contrôlé par l'intelligence artificielle. Pas de gros scénario complexe à l'horizon, mais tout de même un peu plus de sérieux, ainsi que des scènes clichées, mais intéressantes pour ses personnages jamais totalement saints d'esprit. Un bon jeu d'action, en somme, mais ne révolutionnant pas le genre, construit à la base pour apporter à la bibliothèque coop de nos consoles de salon un ajout à considérer !
Quelle heure est-il?
Comment savoir, comment la voir?
Tout le monde bouille vite
Moi aussi je bouillonne, moi aussi!
J’ai dépensé autant que les autres
Je suis en position de tous mes moyens
Même si je fais toujours tout à l’heure
Je ne veux pas savoir quelle heure est-il
Plutôt quelle heure je suis!
Je suis l’heure, mais l’heure de qui?
Je devrais le savoir par chœur
Écouter toutes les voix, toutes les leurs
Et entendre toujours la même
Celle qui est à moi-même
Toutes les aiguilles tournent
Elles pendulent dans le vite
Rondant toujours, toujours à temps
C’est lui qui dirige, car on le seconde toujours!
On a jamais le temps, on n’est pas minutieux
Alors, comment ne pas avoir l’esprit-mélangeur?
Comment continuer après la mi-temps?
 "Perspective" est mon éditorial hebdomadaire sur les projets en cours et à venir pour Imaginathought.
Le site va très bien, cela ne fait aucun doute ! Depuis près d'un mois, il y a une nouvelle sortie pratiquement tous les jours et c'est très bien ainsi. Dans un avenir rapproché, il deviendra un peu plus difficile de continuer d'être au rendez-vous de façon aussi fréquente.
Le projet de jeu est énorme. Je dirais même plus, c'est l'énormité incarnée ! Je me dois de m'y concentrer le plus possible, étant impliqué dans toutes les sphères de créations. Cela demande un dévouement colossal qui devra, j'ai pris ma décision, empiéter sur le temps disponible normalement pour garnir Imaginathought. Le site continuera d'être actif, même très actif : la base quotidienne ne sera juste plus chose promise et rendue.
Cette semaine reste tout de même très chargée en contenu. Premièrement, deux spectacles extrêmement intéressants s'y trouvent, et les premières informations officielles sur le jeu paraîtront aussi sous peu ! Je prévois avancer la critique des deux albums que je n'ose même plus nommer ici, ainsi que continuer de garnir en jeux et livres sporadiquement ces pertinentes sections. Je ferai aussi une critique de film cette semaine! Sans en révéler le titre, je peux vous dire que c'est un machin assez populaire...
Les rencontres de conception du jeu vont bon train! Je ne fais que changer mon fusil d'épaule, sans jamais arrêter ma guerre constante contre le temps et la façon dont j'en dispose. Je suis encore productif, mais de façon différente !
Pour ce qui est des collaborations pour cette semaine, je suis encore en train de confirmer le tout !
Vous aurez des détails bientôt sur un intense projet d'édition secret que j'ai envie de révéler à tous !
Si jamais vous désirez participer au projet et ainsi permettre au site de rester actif quotidiennement, faites-moi signe !
 Le monde entier semble aujourd'hui ressentir sincèrement qu'une seule émotion : la déception. Dans cette société moderne de surconsommation et de surexposition publicitaire, où l'art est produit massivement à une vitesse toujours trop rapide pour être connu dans son intégralité, le consommateur moyen trouve toujours le moyen d'être déçu, de ne pas aimer comme il aurait voulu aimer.
Pourquoi?
Dans notre Amérique idéalisée où tout est théoriquement possible, les gens vivent continuellement dans le rêve. Résultat? La réalité d'un produit si longtemps attendu est souvent moins belle qu'initialement prévu, ou la suite d'une franchise tellement adorée n'arrive pas à la cheville de son ainée. Est-ce que la qualité des produits est si souvent condamnable? Personnellement, je ne crois pas. Je sais par contre qu'il est impossible de supplanter un idéal avec le pragmatique et plat réel.
Les gens vont donc créer une copie virtuelle des choses artistiques qu'ils aiment (films, jeux, livres…) et en augmenter la valeur réelle par leur imagination débordante, tout en construisant des attentes incommensurables pour la suite sans même se renseigner sur ce qui la distingue de l'original qui lui aussi est déjà décentré puisque amélioré dans l'esprit du consommateur. Tout ce processus créatif de la valeur du produit fait vendre, mais créé énormément de frustrations et de déceptions. Presque aucune suite n'a de chances d'être aussi "bonne" que le premier opus, suivant ce mode de pensée.
L'art doit être pris à l'unité, même lorsque produit en masse. Il faut mettre de côté l'hyperconsommation et prendre le temps de comprendre le processus créatif de chaque produit consommé. C'est ce que moi et mon équipe tentons de faire avec OmniArt. Je ne viens pas rendre incritiquable toute production artistique, loin de là, j'essaie simplement de mettre le doigt sur la façon trop rapide dont tout est jugé, classé et condamné aujourd'hui.
J'aurai réussi mon défi par l'écriture de cet article si dorénavant vous vous demandez réellement d'où provient votre déception : du fait que le produit que vous avez entre les mains est vraiment de piètre qualité, ou alors parce qu'il ne correspond pas à vos attentes virtuelles injustement construites par les émotions inégalables suscitées par l'arrivée de quelque chose de totalement nouveau lorsque vous avez mis les mains sur le premier de la série?
Revoir le processus critique souvent automatique que nous avons, c'est mieux comprendre et surtout mieux apprécier toutes les bonnes choses qui se font aujourd'hui. En plus, cela vous assurera à l'avenir que s’il y a bel et bien déception, ce sera pour des raisons alors beaucoup mieux défendables.
Le sentiment de ne passer de "rien" à "quelque chose de nouveau" sera toujours plus fort que de passer de "quelque chose" à sa "suite", certes, mais peut être contrecarré en prenant le temps de consommer sans avoir le passé en tête, mais en se concentrant sur les émotions vécues au présent. En changeant ainsi votre point de vue, vous rentrerez bien mieux dans ces univers créatifs, étant plus ouvert au niveau des perceptions qu'au niveau des calculs de qualité.
Car il ne faut pas oublier que l'art ne sera vraiment appréciée que lorsque vécue, ressentie, et non calculée, comparée et analysée. Faites tout cela après votre expérience, et non pendant ! Servez-vous de cette imagination débordante pour mieux faire l'analyse de votre expérience passée, plutôt que pour idéaliser cette expérience passée et nuire dans le futur à vos expériences présentes...
Cette petite réflexion n'est en somme qu'une invitation à avoir, tous les jours, plus de plaisir et d'ouverture dans votre consommation artistique ! Tout comme ce site tente modestement de le démontrer, il y a du bon dans tout, seulement quelques mauvais choix sautant parfois aux yeux ! La déception provient de nous à priori, pas vraiment du produit en tant que tel.
À vos commentaires !
 "Perspective" est mon éditorial hebdomadaire sur les projets en cours et à venir pour Imaginathought.
Semaine plus calme pour le site, la section OmniArt s'est tout de même enrichie de quelques critiques de spectacle et de jeux. D'autres sont à venir pour cette semaine, ne vous inquiétez pas ! Une collaboration est aussi garantie pour cette semaine, et une autre, dans un avenir un peu plus éloigné. Bref, le site continue à voguer à sa confortable vitesse de croisière, croissant un peu plus chaque semaine pour devenir un jour la référence mondiale en analyses culturelles! (hahem..)
Encore une fois, vous pouvez voir l'absence de mise à jour pour les albums d'Helloween et Dragonforce! Sachez tout de même que j'ai pu amasser quelques notes visant à accélérer la future rédaction de ces tardifs apports à la section musique d'OmniArt.
Le projet de jeu est OFFICIELLEMENT lancé! La première rencontre s'est déroulée comme sur des roulettes huilées glissant sur un environnement sans aucune friction. Le tout est commencé, organisé, schématisé et en voie de devenir mon projet le plus ambitieux, mais surtout le plus concret ! Je continue de mettre de l'énergie sur l'encyclopédie, tout en organisant diverses rencontres avec tous les départements de création, question de démarrer la chose en force! Vous aurez de plus amples détails très bientôt dans des articles consacrés à la conception du jeu.
C'est ce qui clôt ce premier mois de Perspective! Je crois que cette formule est efficace et pertinente, donc elle continuera de vivre sur ce blogue !
Vous voulez participer à Imaginathought? Vous avez une idée d'article, mais une plume incertaine? Envoyez-moi un courriel ou interceptez-moi sur Facebook! Je suis ouvert à toutes propositions sérieuses.
À lundi prochain ! (je sais, un jour de retard cette semaine..!)
 Est disponible aujourd'hui un jeu peu annoncé, basé sur la série télévisée The Walking Dead. Plus classique que le jeu du même nom basé sur une série de bandes dessinées sortit il y a quelques mois, cette version est à la première personne et propose une petite simulation de survie personnalisable et tout de même intéressante! Le gameplay en soi est très classique, tout comme dans les animations et les graphiques, pour un jeu peut-être un peu cher à 49.99$ mais offrant une belle option de location. Pour les amoureux de la série, vous retrouverez les environnements et les personnages que vous connaissez, et pourrez tenter de faire survivre votre petit groupe en amassant divers objets tels que des vivres ou de l'essence. Rien de révolutionnaire, mais le plaisir est quand même au rendez-vous pour les inconditionnels des zombies!
 Quatrième épisode de cette déjà grande saga, Gears of war : Judgment se veut très fidèle à la première trilogie de la série, mais devient très ambitieux au niveau de son scénario et de la façon dont celui-ci est raconté. Le tout se fait sous forme de plaidoyer alors que vos personnages préférés, des années avant le premier Gears, sont jugés devant une cour martiale peu officielle. En ajoutant des défis par des éléments du plaidoyer facultatifs en plus d'offrir encore une fois un mode multijoueur amusant, différent et très violent, ce dernier jeu, cette fois développé par les gens de People can fly (Bulletstorm) apporte à l'univers de Gears quelques apports pratiques intéressants comme un système de « scoring » discret et des animations toujours plus affinées. Bravo aux effets de feu et de fumée, particulièrement impressionnants dès les premiers moments de jeu ! Un achat assuré pour les connaisseurs, et une bonne préquelle pour les néophytes!
 "Perspective" est mon éditorial hebdomadaire sur les projets en cours et à venir pour Imaginathought.
Encore une fois, quelques rubriques de dernière minute sont venues remplacer les critiques de CD et de jeu que je prévoyais faire ! Cette semaine fut plutôt chargée au travail de mon côté, ne me donnant que peu de temps pour écrire. Une nouvelle critique de spectacle d'humour est en ligne, pour ceux l'ayant manquée ! Encore une fois, mon cher collaborateur Martin Gioffre a contribué à garder le site actif malgré mon absence malheureuse. Je me rattrape aujourd'hui et demain avec quelques articles que j'ai gardés en banque dans ma tête ces derniers jours et une autre critique de spectacle, dans une toute nouvelle catégorie !
Cette semaine, je prévois faire une critique du film Life of Pi et du jeu Gears of war, violent classique de cette génération "xboxienne" de console. Et, au risque de me répéter, je veux avancer les critiques du dernier Dragonforce et du dernier Helloween (je vais y arriver!). Il se peut que cette semaine aussi le site soit un peu plus tranquille. Pourquoi donc?
La prérencontre du projet de jeu dans l'univers de No man's land s'est extrêmement bien déroulée ! Ce fut très encourageant et inspirant d'échanger mes idées avec deux gars sachant de quoi ils parlent. Je vous promets à tous quelque chose de vraiment grandiose ! La rencontre de ce samedi le 16 est confirmée avec pas moins de 8 membres présents! Gageons que si Dieu existe, il sera lui aussi de la soirée...
Une bonne partie de mon temps de cette semaine va donc dans la préparation de cette rencontre et dans la mise sur pied d'une encyclopédie de mon univers qui s'enrichira à mesure que le jeu avancera. Mon but est d'offrir à tous une vision commune de mon univers et tous les outils dont ils auront besoin pour créer et apporter leurs talents particuliers à notre soupe commune.
C'est avec beaucoup d'énervement et de calculs que j'attends cette soirée, qui sera pour moi un tournant de l'histoire de tous mes projets ! En espérant que vous continuez à lire nos articles, car nous continuons d'en écrire! N'hésitez pas à commenter vos lectures sur la page Facebook et à demander la résurrection du forum au besoin!
À lundi prochain!
 Décidément, les gars de Stratovarius ont le vent dans les voiles depuis quelque temps déjà. Troisième album depuis la venue bienfaitrice de Lauri Porra à la basse et Matias Kupiainen à la guitare, Nemesis est déjà disponible en magasin depuis le 22 février.
Halcyon Days est le premier simple de Nemesis, agrémenté d'un vidéoclip. Je désire simplement analyser le son du groupe que l’on peut rencontrer sur cette chanson!
Stratovarius procède par couches pour l'évolution de son nouveau son. Avec Polaris, les éléments progressifs et le clavier étaient à l'honneur. Elysion continua dans la même veine en rapportant une touche "power" un peu plus prononcée, tout en s'essayant avec une très longue pièce de fin d'album. Ce que nous pouvons aujourd'hui entendre sur Halcyion Days est une continuité de tout cela, enrichi de nouveaux éléments plutôt inexplorés par le groupe, malgré ses quatorze albums.
Le refrain et les couplets de la pièce sont somme toute assez classiques, sensation mitigée de déjà-vu et de plaisir de retrouver ce que nous aimons de Stratovarius. Là où c'est différent, c'est dans l'utilisation de la basse et du clavier, ces derniers instruments se démarquant fortement du début à la fin avec des éléments sombres et puissants. La guitare est plus calme sur cette pièce, adoucissant un peu le jeu de Matias se voulant très virtuose habituellement.
Ce qui surprend le plus, vous l'aurez remarqué, est les apports électroniques de la pièce. Cette section se rapprochant un peu du Dubstep, en plus du refrain très Dance rend unique ce nouveau mélange de genres signé Stratovarius.
Autre fait intéressant : La batterie possède un son allant très bien avec l'ensemble, mais le jeu en soi n’a rien de bien ahurissant malgré l'arrivée d'un tout nouveau batteur dans le groupe! Le jeu de Michael était lui aussi très classique, mais un peu de changement aurait rafraîchi le tout !
La grande question est donc : est-ce qu'Halcyion Days est une digne représentante de ce nouvel album? Il y a ici quelque chose de vraiment intéressant, mais tout de même quelques petites déceptions au niveau de la batterie... À suivre!
 Je suis toujours tenu par mon contrat de confidentialité m'interdisant de vous donner des détails sur le jeu, mais je voulais écrire quelques lignes sur mes premières impressions de ce titre tout à fait original !
Après cette BETA fermée de sept jours, je peux vous confirmer que ce jeu a tout pour séduire un très large public. C'est ce qui m'a frappé très rapidement avec Battleblock theater : la prise en main instantanée couplée de possibilités de gameplay aussi nombreuses que pour Little Big Planet, se limitant donc à la créativité même des joueurs de toute la communauté.
Imaginez donc à un jeu ayant une histoire irrémédiablement simple, mais doté d'un humour attachant et d'une bande sonore tout bonnement parfaite. Rajoutez ensuite à la recette un mode multijoueur digne de Super Smash Bros, mais possédant plusieurs modes de jeux et un éditeur de niveau rendant le tout impossible à terminer !
Ce fut pour moi une semaine vraiment enrichissante, me permettant de comprendre les rouages complexes d'un jeu pourtant facile à comprendre dès les premières minutes! Ce petit bijou est un achat assuré pour moi, et je le conseille à tous ceux possédant une Xbox 360 et quelques dollars. Niveau investissement, Battleblock Theater en offre bien plus que la plupart des titres à 59.99$ offerts ces temps-ci! Bravo à The Behemoth pour avoir encore su créer un monstre avec leur univers graphique rendant loufoque toute violence perpétrée par ces petits bonshommes en 2d.
Attendez-vous à un suivi de ma part concernant la prochaine sortie (ce printemps) de ce titre.
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